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Traduit par : Flutura Gashi-Mehmeti
- 12 décembre 2024 12:42
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Le président américain sortant Joe Biden a accordé une grâce présidentielle à 39 Américains reconnus coupables de crimes non violents et a commué les peines de près de 1,500 XNUMX autres.
La Maison Blanche a décrit cette décision comme l’un des plus grands actes de courtoisie présidentielle posés en une seule journée. Les noms des personnes graciées n'ont pas été communiqués, rapporte la BBC.
La Constitution américaine stipule qu'un président a « un large pouvoir pour accorder des grâces pour des infractions contre les États-Unis, sauf en cas de destitution ».
Plus tôt ce mois-ci, Biden a gracié son fils Hunter, poursuivant une tendance récente selon laquelle les présidents pardonnent à leurs proches.
En annonçant cette mesure, Biden a déclaré que les personnes graciées « ont démontré une réadaptation réussie et ont montré leur engagement à rendre leurs communautés plus fortes et plus sûres ».
Leurs condamnations non violentes comprenaient des infractions liées à la drogue.
Parallèlement, les peines commuées concernaient des centaines de personnes assignées à résidence pendant la pandémie de Covid-19 et qui risquaient des peines que Biden jugeait trop longues.
Biden quittera la Maison Blanche le 20 janvier 2025, lorsque son successeur Donald Trump sera investi.
Jusqu’à présent, Biden détenait le record du moins de grâces parmi tous les présidents de l’histoire moderne des États-Unis.
Trump a émis 237 actes de grâce au cours de son premier mandat à la Maison Blanche, selon le centre de recherche "Pee".
La décision de Biden plus tôt ce mois-ci de gracier son fils, Hunter, a poursuivi une tendance des présidents des deux côtés de la division politique américaine, y compris Trump, à accorder la clémence à leurs proches.
Hunter Biden risquait d'être condamné pour deux chefs d'accusation criminels.
Cette décision a suscité des réactions négatives, le président sortant ayant précédemment exclu une telle décision. Mais en justifiant cette décision, Biden a affirmé que les poursuites contre son fils étaient politiquement motivées.
